Quelques îles dispersées au milieu de la méditerranée,
à une centaine de nautiques de la côte espagnole, les Baléares semblent être la
plate-forme idéale pour recevoir l'oiseau migrateur motorisé.
Avant de prendre le large, petit passage
au dessus de la plage à laquelle nous nous sommes baignés la
veille.
Nous cheminons le long de la côte Nord, toujours à
1000 pieds, pour entrer dans la CTR par le corridor E, puis le point nommé "La
Mola":
Mais tout n'est pas terminé. Aux Baléares, il y a
aussi Majorque, Ibiza ...
On aperçoit ensuite le phare de Cavalleria, juché sur
son promontoire, tout au Nord de l'île:
La traversée se passe à 1500 pieds, sous le
stratocumulus espagnol. Le beau temps revient en même temps que le continent.
Ici, l'Estartit, un truc de plongeurs, juste avant Empuriabrava. On ne s'y
arrêtera pas pour faire le plein, car on aura assez d'essence pour rentrer
directement (avec les 3 réservoirs du DR400-160, nous n'aurons refioulé qu'une
fois, faisant Empuria - Menorca - Candillargues d'un trait):
Quelque part sur la côte, vu du ciel.
Villa sans vis-à-vis avec grande piscine
privée:
Ou un peu plus serré :
Ou encore plus serré... la maison d'arrêt de
Villeneuve les Maguelone, interdite de survol:
Montpellier, Antigone dans un méandre du
Lez:
Le beau temps nous attendait à l'arrivée. Merci
le dieu des pilotes (pas moi, mais Eole ou son frère spécialisé dans
l'aviation).